Le chroniqueur a déclaré face aux gendarmes enquêteurs : «Le lundi 21 octobre 2024 vers 10 heures, j’étais à bord de mon véhicule de marque Ford Escape, immatriculé AA50…. Je devais partir vers le kilomètre 50. Arrivé au garage de Ndoyenne, alors que je devais rejoindre la route nationale N°2, un camion m’a cédé le passage. Au moment de prendre la voie droite (sens Sébikotane-Pout), une moto Jakarta est sortie de sa voie pour percuter le flanc gauche de mon véhicule. Après m’avoir percuté, le conducteur de la moto est tombé. Je me suis mis sur le bas-côté droit de la chaussée pour attendre le constat. C’est un conducteur de clando qui est même parti alerter les gendarmes. Quelques minutes après, deux éléments de la brigade de Sébikotane sont arrivés. Au cours du constat, l’un des gendarmes m’a demandé les pièces afférentes à la conduite du véhicule. Là, je lui ai donné l’attestation de la police avec laquelle je conduisais. Nous sommes partis à la brigade pour voir le commandant. Une fois à la brigade, on m’a exigé d’aller prendre mon permis de conduire au niveau du commissariat de la Médina. Quand je partais au commissariat, je suis passé par l’hôpital Youssou Mbergane de Rufisque, puis à l’hôpital CTO. J’ai pris les frais médicaux en charge avant de continuer mon chemin. Une fois à la police, j’y ai trouvé une dame qui n’est pas parvenue à retrouver mon permis de conduire. Elle m’a donné rendez-vous le mardi 22 octobre 2024. Quand j’y suis retourné le mardi, on a duré là-bas car on était en train de chercher le permis, en vain. Le mercredi, aussi j’y suis retourné d’autant plus que la brigade de Sébikotane l’attend pour les besoins de l’enquête. C’est ainsi qu’ils m’ont exhorté d’aller au commissariat central pour y trouver un certificat de perte, ce que j’ai catégoriquement refusé. Ils ont prorogé l’attestation jusqu’au 30 octobre 2024. Au moment d’aller répondre au commandant de la brigade de Sébikotane, les éléments de la brigade de recherches de Dakar m’ont appréhendé ».
Le proce sest tenue le lundi dernier et renroyer jusquau jeudi 07novembre, quel serait les rebondissement devant le juge et le procurreur.